Le mal commence avec l'indifférence et la résignation.
Quoique vous fassiez, vous ferez mal !
On fait souvent du bien pour pouvoir impunément faire du mal.
Il n'est pas si dangereux de faire du mal à la plupart des hommes que de leur faire trop de bien.
Il n'y a guère d'homme assez habile pour connaître tout le mal qu'il fait.
Notre repentir, ce n'est pas tellement pour le mal que nous avons fait, mais pour la peur de ses conséquences.
La promptitude à croire le mal sans l'avoir assez examiné est un effet de l'orgueil et de la paresse.
Le mal que nous faisons ne nous attire pas tant de persécution et de haine que nos bonnes qualités.
Le bien que nous avons reçu de quelqu'un veut que nous respections le mal qu'il nous fait.
Le mal est notre ennemi. Mais, ne serait-il pas pire qu'il fût notre ami ?
Quand le droit n'est pas la force, il est le mal.
On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas.