L’Enfer, c’est quand tu peux plus voir les gens que t’aimes... Tout le reste ça compte pas...
Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.
Il y a des regrets, des remords, des fêlures et des compromissions qui ne cicatrisent pas, qui ne cicatriseront jamais.
Je me disais : allez il faut pleurer une bonne fois pour toutes. Tarir les formes, presser l’éponge, essorer ce grand corps triste et puis tourner la page, penser à autre chose.
Je préfère te voir souffrir beaucoup aujourd’hui plutôt qu’un peu toute ta vie.
Au bout de combien de temps oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée? Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour? Qu'on me tende un sablier.
Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre.
Je me dis souvent que tu es assez fort pour me retenir et assez intelligent pour me laisser filer...
Tout ce que je vois de toi et tout ce que je ne vois pas, je l'aime. Pourtant je connais tes défauts. Mais justement, j'ai l'impression que tes défauts vont bien avec mes qualités.
J'étais confiant. J'étais plein d'énergie. Je crois que j'étais assez heureux à cette époque de ma vie parce que même si je n'étais pas avec elle, Je savais qu'elle existait. C'était déjà inespéré.
L’amitié, c’est gérer les affinités. L’amour, c’est concilier les différences.
Lorsque la mer représentait ma tristesse, tu m’as appris à nager.