Un homme est la somme de ses propres malheurs.
La vie, le malheur, l'isolement, l'abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros ; héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres.
Ne rien faire est le bonheur des enfants et le malheur des vieux.
Le bonheur est vide, le malheur est plein.
Celui qui ressent sa propre vie et celle des autres comme dénuées de sens est fondamentalement malheureux, puisqu'il n'a aucune raison de vivre.
Malheureux le roi qui n'a qu'une tête !
C'est un malheur qu'il y a trop peu d'intervalles entre le temps où l'on est trop jeune, et le temps où l'on est trop vieux.