Le spectacle du monde ressemble à celui des Jeux olympiques : les uns y tiennent boutique ; d'autres paient de leur personne ; d'autres se contentent de regarder.
Le monde est une comédie dont les philosophes sont les spectateurs.
Le monde n’a progressé que grâce aux choses impossibles qui ont été réalisées.
Le monde a été fait par les fous pour que les sages y vivent.
Il n'est qu'une chose horrible en ce monde, un seul péché irrémissible, l'ennui.
Le monde est un théâtre, mais la pièce est mal distribuée.
La misère du monde n'est pas de dimension humaine.
Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur, c’est tout !
Notre monde ne manque pas de merveilles, mais seulement du désir d’être émerveillé.
À vouloir gagner le monde, tu perdras ton âme. La sagesse vaut mieux que l’or et l’argent.
Souris, tu n’as pas à porter tous les maux du monde sur tes épaules.
Ceux et celles qui sont assez fous pour croire qu’ils peuvent changer le monde, sont en réalité ceux qui le font.