Citations de Livres

Vous trouverez sur cette page des citations provenant de livres célèbres. Vous trouverez par exemple des citations du livre "L'art de la guerre" de Sun Tzu. Vous y trouverez également des citations de livres sur l'amour, la vie, la philosophie. Et enfin vous trouverez des citations provenant des livres de vos auteurs préférés comme Musso, Albert Camus, Antoine de Saint-Exupéry, Marc Lévy, Charles Baudelaire, Isaac Asimov et bien plus encore...

Citations du livre "L'art de la guerre" de Sun Tzu

Voici une liste de citations provenant du très célèbre livre L'art de la guerre de Sun Tzu. Ce livre est un traité de stratégie militaire chinois.

La guerre est semblable au feu, lorsqu'elle se prolonge elle met en péril ceux qui l'on provoquée

Si le général est généreux, mais incapable de diriger, bienveillant, mais incapable de rétablir l'ordre, ses soldats, tels des enfants gâtés, seront inutiles

Arrivez comme le vent et partez comme l'éclair...

Lorsque le coup de tonnerre éclate, il est trop tard pour se boucher les oreilles.

Une armée sans agents secrets est exactement comme un homme sans yeux ni oreilles.

Lorsque le monde est en paix, un homme de bien garde son épée à son côté.

Lorsqu'un chat se tient à l'entrée du trou du rat, dix mille rats ne se hasardent pas à en sortir; lorsqu'un tigre garde le gué, dix mille cerfs ne peuvent le traverser.

Entendre un coup de tonnerre ne prouve pas qu'on a l'ouïe fine.

Lorsque vous possédez la supériorité à dix contre un, encerclez l'ennemi. A cinq contre un, attaquez-le. A deux contre un, divisez-le. Si vous êtes de force égale, vous pouvez engager le combat.

La guerre est semblable au feu; ceux qui ne veulent pas déposer les armes périssent par les armes.

Tout l'art de la guerre est basé sur la duperie.

L'art de la guerre, c'est soumettre l'ennemi sans combat.

Le riche désarmé est la récompense du pauvre.

Citations des livres de Musso

Vous aimez les livres de Guillaume Musso ? Ca tombe bien, vous trouverez ci-dessous quelques citations provenant de ses livres !

Comme Margaret Atwood, je pense que vouloir rencontrer un écrivain parce qu’on aime son livre, c’est comme vouloir rencontrer un canard parce qu’on aime le foie gras.

Un roman, c'est de l'émotion, pas de l'intellect.

— Les romanciers sont les plus grands menteurs de l’histoire, non ? — Non, ce sont les hommes politiques. Et les historiens. Et les journalistes. Mais pas les romanciers.

Pour écrire tu dois être à la fois dans le monde et hors du monde.

Plus vous cherchez à cacher quelque chose, plus vous attirez la curiosité sur ce que vous souhaitez dissimuler.

Aujourd'hui, tout le monde veut être écrivain et plus personne ne lit.

Le roman fournit à celui qui l'invente un mensonge par lequel il exprime son indicible vérité.

La première qualité d’un écrivain était de savoir captiver son lecteur par une bonne histoire. Un récit capable de l’arracher à son existence pour le projeter au coeur de l’intimité et de la vérité des personnages.

Tu connais le concept grec du Kairos ? C'est l'instant décisif qu'il ne faut pas laisser passer. Dans toutes les vies, même les plus merdeuses, le ciel te donne au moins une fois une vraie chance de faire basculer ton destin. Le kairos, c'est la capacité à savoir saisir cette perche que la vie te tend. Mais le moment est généralement très bref. Et la vie ne repasse pas les plats.

Sagan avait trouvé la formule parfaite : « L’écrivain est un pauvre animal, enfermé dans une cage avec lui-même. » Lorsque tu écris, tu ne vis pas avec ta femme, tes enfants ou tes amis. Ou plutôt, tu fais semblant de vivre avec eux.

À quoi bon servent les livres, s’ils ne ramènent pas vers la vie, s’ils ne parviennent pas à nous y faire boire avec plus d’avidité ?

L'essentiel c'est la sève qui irrigue ton histoire. Celle qui doit te posséder et te parcourir comme un courant électrique. Celle qui doit te brûler les veines pour que tu ne puisses plus faire autrement que d'aller au bout de ton roman comme si ta vie en dépendait.

Il est écrit quelque part, dans l’une des pages du livre du destin, que les roses trop belles vivent avec la hantise de se faner. Et cette crainte leur fait parfois commettre des actes irréparables.

Je pense que vouloir rencontrer un écrivain parce qu'on aime son livre, c'est comme vouloir rencontrer un canard parce qu'on aime le foie gras.

C'était en partie pour cela que j'aimais autant lire. Pas pour fuir la vie réelle au profit d'un univers imaginaire, mais pour revenir vers le monde transformé par mes lectures. Plus riche de mes voyages et de mes rencontres dans la fiction et désireux de les réinvestir dans le réel.

Cet article sera complété prochainement avec encore plus de citations célèbres !